Eliott M. O'Neill

Nom: O'Neill Prénom: Eliott Murdoch Kentigern, ses deux autres noms sont tellements gratinés que généralement il ne s'en vante absolument pas ! Surnom: Eli, Li', certains pour se moquer de lui aiment l'appeler Lili la fée clochette, mais Eliott ne fera jamais part volontairement de ses deux autres prénoms qu'il a en horreur. Age: 14 ans, presque 15 ! Date de naissance : 16 Juillet ! Sexe: Homme Nationalité: Écossais, Français par sa mère, a donc apprit en sa compagnie le français lors de ses jeunes années Lieu de votre habitation: Un manoir en Ecosse, non loin de Glasgow, à une heure de voiture au moins, ce manoir est au milieux d'une forêt, et se dresse tel une forteresse dans ce dédale boisé. Sang: mêlé, mère sorcière, père moldu ! Classe: Aisée L'école où tu veux aller:  Poudlard Année d'étude: 1 ère année Plus tard je veux devenir: ... Déjà, s'habituer à un monde nouveau. Une idée me trotte dans la tête, depuis que j'en ai eu connaissance, d'ailleurs. Devenir Animagi... C'est un défi qui n'est pas à la portée de tout le monde, mais qui peut survivre sans défis ? Coffre: 12825

JE SUIS CE QUE JE SUIS ...

Plus vite tu grandiras, plus vite tu auras la paix. C'est ce que je me suis dis durant toute mon enfance. C'est ce qui a toujours traversé ma petite tête. Mais grandir ne veut pas forcément dire « être mature », « être adulte ». Je suis extrêmement grand pour mon âge. Dans les un mètres soixante dix, et ça ne semble pas finis. De jours en jours, je grandis encore. Mais qu'importe d'être grand, si on est pas indépendant ? Qu'importe d'être grand, si on ne peut qu'effleurer du bout des doigts la liberté. Malheureusement le sujet n'est pas là. Je pourrais déblaterer pendent des heures sur toutes ces choses que l'on désire, et qu'au final on aura jamais. Pour me décrire, je vais faire simple. Mes cheveux sont bruns, et ils ont tendance à onduler si on ne fait rien contre. Je les portes toujours court, mais j'ai pour projet de les faire pousser, suffisamment pour pouvoir espérer choquer, exaspérer ma tante. Mes yeux sont d'une couleur indistinct. En réalité, ils passent par une gamme vraiment varié, allant du gris en passant par le bleu, vers le vert... Ils sont en amande, encadré par de fins cils. Mon visage, quant à lui, est assez carré, pas féminin pour un sous. Je n'ai que 14 ans, mais j'en parais déjà beaucoup plus, j'ignore si c'est due à ma taille, ma stature ou mon visage qui fait beaucoup plus mature que mon âge laisse supposer. Au niveau des vêtements... Mes armoires sont remplies de toutes ces chemises, de tous ses pulls sans manches et de ces cravates. J'ai aussi quelques costumes. Parce que la famille veut donner bonne image, parce qu'un jeune O'Neill, qui finira par hériter et gérer le domaine se doit d'être présentable en tout temps. Mais moi ce n'est pas ce que je souhaite, non... Moi, ce qui me fait rêver, ce sont tous ces beaux blousons en cuir, ce sont... Tous ces hauts aux phrases provocatrices. Oui... La provocation, les jeans troués, délavé, etc. Je voudrais être quelqu'un d'autre... Peut être que l'éloignement du domaine (et surtout de ma tante) pourra y contribuer...

Pour le mental... S'il y a une chose très importante à savoir... C'est que je suis bipolaire. Qu'est-ce que cela implique me direz-vous ? Hé bien... Déjà, j'ai quelques petites pillules de toutes les couleurs à prendre chaque matin, mais ce n'est pas qu'un nom à mettre sur une quelconque maladie. Je l'appelle celle du passager noir. Je suis quelqu'un d'instable au niveau émotionnel. Du moins, le suis-je par phase. Une phase de déprime, et de colère, qui peut durer des semaines, c'est comme si j'entrais dans un tunnel, que j'étais dans l'obscurité pendent des jours, avant de finalement voir la lumière au bout, durant ces périodes, je me replis sur moi même, ne parle que lorsque c'est nécessaire. Je sais comment je suis, je sais que le moindre échec, la moindre contrariété pourra être vécu comme un échelon insurmontable... Je n'ai que trop souvent vécu la pression dans ma cage thoracique, la boule de tristesse dans le fond de ma gorge, l'instabilité... Voilà tout. Lorsque je sors de ce tunnel, il y a la deuxième phase. Celle où je suis souriant, où je me sens vivant, celle où je suis heureux, qu'importe les affres de la vie, je me sens apte à les surmonter. Chaque émotions devient plus vivace, plus fortes, les joies peuvent me faire vibrer de tout mon être par exemple. Mais il faut un peu de logique aussi, mon être ne se résume pas à ça. Je suis quelqu'un de très débrouillard, j'ai cherché très tôt à ne dépendre de personne, à me gérer seul, ce qui m'a offert une grande maturité.
Mais le reste du tableau n'est pas idéal. Je suis quelqu'un possédant une part de ténèbre, je ne me fie jamais totalement aux gens, ou alors avec un certain temps d'adaptation, je ne supporte pas de montrer mes vrais émotions, et les camoufles toujours devant sourires ou sarcasmes, selon mon état du moment. De même... Je suis une des personnes les plus rancunière qui existe. Pendent ma prime enfance, mon univers se limitait non pas à mes amis, mais à mes romans. Instable, incontrôlable, indéfinissable. Bien des choses restent flous, et le resteront un bon moment pour vous. Un jour peut être, la vérité éclatera au grand jour. Un dernier petit détail ? J'ai développé un esprit critique dès mon plus jeune âge grâce à mes lectures, gare à ceux qui se trouveront sur mon chemin, ma langue ne délivrera pas que des mots doux. L'ange a deux visages, et il est capable de se défendre.

  

Ҩ Les livres Ҩ L'hypocrisie Ҩ La philosophie Ҩ Sa tante ? Ҩ Les chocolats chauds Ҩ La foule Ҩ regarder le ciel étoilé Ҩ Les cauchemars récurents qu'il fait Ҩ Le yoga (ça marche pour la canalisation des émotions) Ҩ Généralement, il est claustrophobe Ҩ

VOICI MON HISTOIRE ...

On ne peut pas dire que ma vie n'a été marqué que par du bonheur, mais on ne peut pas dire qu'elle ait été trop malheureuse. J'ai vécu des années merveilleuses en compagnie de ma mère et de mon frère, mon père était beaucoup plus souriant qu’aujourd’hui, il était aussi beaucoup plus disponible aussi. Mais ça cassa, parce que rien n'est éternel, que les liens sont fait de soie, et qu'il suffit d'un mensonge pour que tout se détruise. Ainsi, je regardais la voiture dans laquelle se trouvait mon frère s'éloigner. Mon grand frère. Ce garçon qui m'avais tenu par la main pour faire mes premiers pas. Cet être avec qui nous inventions des histoires fabuleuses peuplé de dragons, de princesses et d'aventures incroyable. Ma main était dans celle de mon père, mes petits doigts aux creux des siens, ses mains étaient étonnamment chaudes. C'était la première fois et la dernière fois que je voyais mon père pleurer, la dernière fois, avant que son visage ne se revête d'un masque. Celui d'un homme d'affaire.

C'est ainsi que, suite au départ de mon frère et de ma mère dans un autre pays, nous revendions le petit appartement dans lequel nous avions emménagé pour retourner en un lieu que papa appelait le « domaine ». Il s'agissait d'une grande maison perdue dans les plaines verdoyantes d'écosse. C'était beau, une sorte de grande maison doté de tours, et de plusieurs étages. Une belle maison. Dommage que Darren ne soit pas là, nous aurions pus jouer tous les deux à cache cache. Une larme coula sur mon visage à cette simple pensé, alors que le gamin que j'étais se faisait traîner par la main. Il me prévint. Comme quoi je pouvais appeler sa mère Mamie, la tutoyer, mais pas ma grande tante, elle, je devais la vouvoyer, et je devais éviter de me retrouver seul avec elle dans une pièce. Mais vous savez... J'étais encore bouleversé, je ne comprenais pas tout ce que cela impliquait, qu'il fallait me méfier de cette femme comme de la peste. La première rencontre se passa admirablement bien. Mamie devint très vite quelqu'un d'apprécié de ma petite personne. C'était un sacré bout de femme. On sentait bien qu'elle était issue d'une famille populaire. Cela se ressentait de par son accent, ainsi que de sa posture, elle ne semblait pas toujours redressée, comme si elle avait une pile de livre sur la tête. De plus, autre fait que je n'appris plus tard, elle souriait. Dans ce monde, les gens cachaient toutes leurs émotions, elle, ne le faisait pas. S'adressait au monde avec l'audace d'un visage à découvert, le premier sourire fit fondre toutes les barrières que j'avais érigé, me précipitant dans ses bras, elle me sera doucement, avant de se présenter. Moïra, la mère de mon père, ma grand mère quoi. Une complicité très forte s'était forgé entre nous. Il s'agissait d'une femme incroyablement douce. Puis soudain, je fus arraché à l'étreinte de la dame. Mamie avait la soixantaine, quant à Grande Tante Fenella elle semblait plus vieille. Elle jeta un regard de reproche à ma grand mère, sifflant que ce n'était pas un comportement adapté. L'austérité et la sévérité imprégnait ses traits, la faisant paraître beaucoup plus vieille qu'elle ne l'était réellement. Par chance pour moi, je la vouvoyais. La seule autre fois où j'avais tenté de la tutoyer, c'était bien plus tard, et je me souviens encore comment la claque avait fait un bruit sourd qui m'avais étourdis.

Toujours est-il que ma vie dans se domaine se profilait. Papa avait reprit les fonctions qu'il avait délaissé, maître du domaine. Il gérait toutes nos possessions, ainsi que les détails lié à la maison. Tante avait exigé avoir deux heures dans la journée pour s'occuper de mon éducation. Le reste de la journée, je la passait avec des professeurs venus d'un peu partout. L'école ? Hors de question qu'un O'Neill sorte du domaine alors que son éducation n'était pas parfaite, qu'il n'était pas à même de se tenir en société. Mamie m'avait expliqué un jour, que les jours où elle se trouvait seule avec Fenella, c'était encore pire que se retrouver totalement seule. C'était comme... Se retrouver dans un temps qui n'était pas le bon. Comme si nous étions retournés au moyen âge. Mon éducation fut dur, notamment avec ma bipolarité qui se déclara bien plus tard. Fenella était un vrai tyran. Mais j'avais tout de même appris des tas de choses. Je savais jouer du violon et de la cornemuse, monter à cheval, je connaissais bien tous les couverts que l'on pouvait retrouver sur une table, ainsi que comment on s'en servait. Je savais un tas de chose... Mais au final, en y regardant bien, j'ignorais tout.

Puis arriva ce fameux jour, ce jour que je n'oublierais jamais. Ce jour maudit qui avait imprégné à tout jamais ma rétine. Fenella était en train de hurler. Pourquoi ? Parce que j'étais sortis du domaine, que j'étais allé en ville, et elle savait pourquoi, pour une fille. Ma première petite amie, en quelque sorte. Ses ongles s'étaient enfoncés profondément dans ma chaire.

« Je refuse d'être ridiculisée comme je l'ai été par la faute de ton père. Je t'interdit d'y retourner tu m'entends ? Tu n'es qu'un idiot, un véritable O'Neill ne ferait pas ça. Tu es aussi immoral que ta mère. »

Un éclaire, et en même temps, une douleur pulsait dans ma joue. Elle avait levé la main sur moi. Elle ne l'avait plus fait depuis longtemps. Une rage sourde enflait sous la surface de calme olympien que j'avais forgé au fil des années, tout mon être se craquelait.

« Lâchez-moi ma tante, Lâchez-moi ! »

Mais sa poigne était dure, j'étais fort pour mon âge, bien battit. C'est ainsi que, de force, je me dégageait. Nous nous trouvions au premier étage, elle avait reculé de quelques pas, jusqu'à ce que ses pieds ne rencontre le vide créer par le commencement des escaliers. S'ensuivit une chute, pour se retrouver au sol, quelques mètres plus bas. Son cou avait un angle étrange, on aurait dit une poupée désarticulée, ses membres étaient dans tous les sens. Pourquoi l'air ne passait pas dans ma gorge ? Pourquoi mes grandes goulées d'air ne libérait pas mes bronches ? C'était une crise de panique. Attiré par le bruit, papa et mamie arrivèrent. L'un réagit plus vite, m’asseyant contre le mur, filant chercher un sac en papier, m'obligeant à inspirer et expirer de sorte à gonfler et dégonfler le sac. De mes yeux s'écoulaient les larmes que je me refusais à faire couler. Des objets quittèrent leur place respective pour venir tourner autour de moi, tel une protection contre le reste du monde. Le temps que je me rende compte que ce n'était pas normal, tout tomba sur le sol. Fenella expira sous les yeux d'un cerf dont la tête trônait au mur de la salle à manger. Tous conclurent à un accident, et la famille O'Neill devint encore plus soudé qu'il n'était possible de le faire. Mais je n'oublierais jamais la position du corps, le regard vitreux de cette femme qui m'avais tant fait souffrir. Nous apprenions, quelques jours plus tard, lorsque mon père réussit à joindre ma mère que j'étais ce qu'on pouvait appeler un sorcier, puisque ma mère en était une également. Elle ne l'avait jamais dis... Le lendemain arriva une lettre, m'invitant à rejoindre une école de magie. J'allais pouvoir quitter le domaine... J'allais pouvoir me libérer de tous ces souvenirs, j'allais pouvoir... Voir le monde et oublier tout ça, me permettre de revenir au domaine détendus, sans crainte. Je serrais cette lettre comme s'il s'agissait du pass pour ma liberté.

  

Prénom/Pseudo: Melouw

Age: 20 ans

Sexe: Demoiselle !

Où as-tu trouvé le forum ?: Top sites

Si tu devais ajouter quelque chose au forum ?: Boh pour moi tout est parfait

Tu es un multi-comptes ?: DC de Darren

Qui est sur l'avatar: Jared Padalecki

Scénario ou Inventé?:Ouep c'est moi qui ais inventé ce personnage