Camille Labata

Nom: Labata Prénom: Camille Surnom: Aucun, mais bon si un surnom devait apparaitre.. Age: 13 Date de naissance : 12 avril Sexe: Femme Nationalité: Irlandaise Lieu de votre habitation: Couvent Sang: Mêlée (Mère sorcière) Classe: Pauvre L'école où tu veux aller: Poudlard Année d'étude: Maximum 1ère année Plus tard je veux devenir: Elle n'en a pas la moindre idée. Coffre: 71204

JE SUIS CE QUE JE SUIS ...

Camille est une jeune femme plutôt petite, mesurant environ un mètre cinquante pour une quarantaine de kilos. Elle arbore une chevelure rousse et deux magnifiques yeux gris, disposés sur un visage fin. Un large sourire semble illuminer le visage à la peau d'albâtre en permanence, même lorsque la situation semble mauvaise. La jeune femme possède une tache de naissance sur l'omoplate gauche, ressemblant assez vaguement à une épée. Ses membres sont très fins, et l'apparence de la jeune femme la fait passer pour une poupée de verre que l'on pourrait briser au moindre contact un peu brusque.

Au niveau vestimentaire, la jeune femme est plutôt simple, comme l'impose sa condition sociale. Elle se vêtit en général de vêtements trop grands pour elle, récupérés par ci par là d'ancienne camarade ayant grandi, ou de vêtement troués. Elle se contente de peu, mais tiens particulièrement à sa croix et à son pendentif, contenant une photo de sa mère, en tenue d'étude de Poudlard, de la maison Serdaigle. Jusqu'à présent, Camille ne reconnait pas les emblèmes de Poudlard et Serdaigle, et pense qu'il s'agit d'un déguisement.

La gestuelle de Camille est plutôt hasardeuse, et il lui arrive souvent de donner l'impression qu'elle va s'écrouler au moindre coup de vent tant sa démarche est délicate. Elle est souvent sujette aux tremblements, qu'il s'agisse de stress, de froid ou de peur.

Mentalement parlant, Camille est plutôt fragile. Elle est facilement impressionnable, et pas bien difficile à manipuler. Il lui arrive souvent de croire à des choses qui auraient fait soupirer d'exaspération le plus crédule des crédules, et de s'embarquer par là même dans des situations qui la dépassent souvent. En revanche, il est un point que la jeune femme ne laisse pas passer, au sujet de la religion. La jeune fille, très pieuse malgré tout, croira en sa religion coûte que coûte. Cela peut paraitre un peu vieux jeu, cependant, celle ci récitera sa prière avant de manger, et avant de dormir. La jeune fille est atteinte de deux tics très prononcés. Le premier est le fait qu'en parlant, elle a tendance à entortiller ses cheveux autour de ses doigts. Le second est un peu plus gênant pour elle, puisqu'il la force à suivre un certain rituel lors de son lever, prenant une bonne dizaine de minutes, avant de pouvoir faire quoi que ce soit. Dans le cas où le second tic ne serait pas assouvi, Camille peut être sujette à des crises d'angoisse très prononcées, voire à des crises de violence. En règle générale, elle n'est pas violente pour un sou.


Ҩ Elle aime Dieu. Ҩ Elle n'aime pas Satan. Ҩ Elle aime les belles histoires. Ҩ Elle n'aime pas la prétention. Ҩ Elle aime les gens généreux. Ҩ Elle n'aime pas les épinards. Ҩ Elle aime le sucre. Ҩ Elle n'aime pas les araignées. Ҩ Elle aime les autres animaux. Ҩ Elle n'aime pas le bruit. Ҩ

♦ Elle ne supporte pas la vue du sang. ♦
♦ Elle ne supporte pas les serpents. ♦
♦ Elle ne supporte pas le vol. ♦
♦ Elle a le mal des transports. (N'est pas forcément sujet au vol en balai) ♦

VOICI MON HISTOIRE ...
Once upon a time, in a far, far country, a country where nobody could be surprised to see a dragon, a knight or a fairy princess, lived a young girl.

Je refermais péniblement le lourd ouvrage, récupéré en cachette lors de l'une des sorties de mes consoeurs. Il ne m'intéressait même pas au fond, je pense que je l'ai pris par simple esprit de contradiction. J'en regardais la couverture un instant. Elle n'était pas illustrée, pas nommée, elle n'était qu'une couverture de cuir marron. Je poussais un long soupir. Ce livre ne me plaisait pas, il me rappelait bien trop ce que je vivais, et surtout ce que j'étais. Je réouvre le livre, et poursuit la lecture mécanique des premières pages.

Cette jeune fille était une enfant, née d'un couple aimant, aux cheveux de feu et aux yeux de fer. Elle était dotée d'une intuition hors du commun, et savait bien souvent dire à qui veut l'entendre ce qui lui arriverait sous peu. Ses parents étaient fiers d'elle, et ils prévoyaient déjà pour leur enfant unique de grands projets. Il arriva cependant un évènement tragique. Dans un accident de voiture d'une rare violence, la jeune fille perdit sa famille, et se retrouva seule, dotée de plus d'une solide amnésie. Elle fut recueillie dans un couvent, un peu en marge du royaume, où elle apprit à vivre avec les préceptes de Dieu.

Je referme rapidement le livre, et le cache sous mes couvertures. La porte s'ouvre, et Soeur Dominique passe la tête par la porte afin d'observer les filles du dortoir. Son regard se pose sur moi, illuminée par la bougie posée à côté de moi. Elle me fait signe d'éteindre, et j'obtempère rapidement. J'attend une bonne vingtaine de minutes après son départ pour réallumer, et réouvrir le livre.

De ses origines, elle ne conserve que de rares vestiges. Seul le collier, constamment pendu à son cou la rattache encore à la vie qu'elle ne put avoir. Chaque jour durant, elle ne peut s'empêcher de penser à cette vie qu'elle manqua. Oh, la vie au couvent ne lui déplait pas, elle remercie chaque jour le ciel de l'avoir épargnée, et lui assure qu'elle n'en veut pas au Seigneur d'avoir emporté ses parents. Elle était persuadée qu'Il avait de grands projets pour eux, comme ils en avaient pour elle par le passé. Elle savait qu'un jour, un signe lui indiquerait la voie qu'elle devait suivre.

Je poussais un long soupir. Un signe... Oui j'en attendais un. Peut être avait il déjà eu lieu, et ne l'avais je pas encore remarqué ? Peut être arrivait il en ce moment même ? Peut être attendais je pour rien ? J'éteignais la lumière en dissimulant de nouveau le livre, et sombrais dans un sommeil réparateur. Je fus tirée de mon sommeil le lendemain matin, lorsque Dominique me secoua de manière presque maternelle. Elle posa sur ma table de chevet une enveloppe fermée d'un cachet de cire. Je l'observais un moment, puis reportais mon regard sur Dominique. Celle ci me regarda, et haussa les épaules.

-C'est arrivé pour toi ce matin, et la Mère m'a demandée de t'amener cela très rapidement et de t'aider à te préparer. Je n'ai pas totalement compris, même s'il semblerait que ce papier te demande de nous quitter...

Je sentais la tristesse dans sa voix, et ne pus me résoudre à ouvrir la lettre dès à présent. Je pris mon ainée dans mes bras, reposant ma tête sur son épaule. Nous restâmes ainsi un bon quart d'heure avant que je ne décide de rompre l'étreinte et de prendre cette lettre. Je mis un moment à l'ouvrir, observant les lettres manuscrites sur celle ci. J'observais aussi le cachet de cire, cherchant à en percer les secrets, mais renonçait rapidement. J'ouvrais la lettre, laissant disparaitre dans le dépli du papier le mot écrit d'une écriture délicate: "Poudlard".

Prénom/Pseudo: Shadoow

Age: 22 ans

Sexe: Homme

Où as-tu trouvé le forum ?: Root top

Si tu devais ajouter quelque chose au forum ?: //

Tu es un multi-comptes ?: Niet

Qui est sur l'avatar: Allison Hannigan

Scénario ou Inventé?:inventé

Code: Validé par Loukoum