RPG - Saison 2: Que la bataille commence

Tout commença par un coup de tête un matin. Ce fut brusque et même si quelqu'un avait su ce que la jeune fille avait en tête, il n'aurait pas pu l'arrêter. Les choses se passèrent très vite et à une allure folle pour Victoria. Elle alla d'abord se regarder dans le miroir. Elle avait changé depuis sa rentrée à beauxbâton. Ses yeux clairs l'année dernière était devenue sombre. Son regard qui respirait la fraicheur, donnait maintenant des frisons à tous ceux qui osait la regarder droit dans les yeux. Ses vêtements n'étaient plus colorés et joyeux comme avant. Si elle n'était pas en tenue de mangemort, elle était vêtue obligatoirement quelque chose dont la couleur dominant était le noir. Le noir était à près en sa couleur fétiche.
Le jeune fille soupira et un sourire glaçant apparut sur son visage blanc. La guerre ... à part les anglais, personne ici, en France ne la prenait au sérieux. Même les mangemorts et sa directrice, Jade ne faisaient pourtant elle était bien réelle. Les anglais pouvait attaqué le château d'une minute à l'autre. Elle avait envie que ça change, elle avait une envie de donner une sacrée frousse à ces satané de british. Leur montrer qu'ils étaient fort. Elle ne pris pas la peine d'informer quelqu'un. Son choix était décisif. elle allait le faire, elle allait faire ce qui aurait du être fait depuis longtemps. Elle sortit de la salle de bain. Pris sa baguette et quitta le dortoir où les louves dormaient encore; Se faufila dans les couloirs et atteignit en moins de deux la sortit. Étonnament que ça put être, tout le monde dormait encore, tout était silencieux. Personne ne la vit.
Elle sorti du château et fonça vers la cabane où se trouvait les balais. Elle pris rapidement le sien et décolla dans la minute qui suivit. Elle monta en altitude près des nuage. Elle avait de la chance, le vent était favorable. Des nuage se trouvait parce par là, ce qui lui permis de sa cacher des humains qui auraient la curiosité de regarder dans le ciel et l'apercevoir... un rire mauvais la pris d'un coup. Ce qu'elle allait faire allait être excitant et dangereux, elle serait sûrement rechercher pour ce qu'elle aura fait. Mais pour le moment elle s'en fichait bien. Elle était déterminée à passer à l'acte. Le voyage fut bref, trente minutes maximum. Elle fonça et ne s'arrêta pas. Rien ne pouvait lui barrer la route.
Arrivée à proximité de Londres elle redescendit doucement jusqu'à se trouver à mis chemin entre la terre et les nuage. le temps était comme à son habitude pluvieux. Elle longea la tamise et arriva en quelques minutes, même quelques secondes à Londres. À la vu de big ben , du london Eye, elle sourit en se disant que ses deux monuments lui manquerait. Elle cabra son balais et commença à se lever. Il lui fallut quelque minute avant de bien trouver son équilibre. C'est alors qu'elle sortit sa baguette de sa veste en cuir noir. Elle la pointa en direction de la ville qui paraissait une étendu de maisons placées inégalement. Les gens paraissait des petite fourmis et les voitures de gros scarabées de couleurs. Sa main se raidit, elle ferma les yeux pour se calmer... il étais temps qu'elle le face. Elle cria alors le sors avec une folle énergie.
Un bruit sourd du fond de la terre puis un plus fort encore se entendre. La terre se mit alors à tremblée, des maisons commencèrent à s'effondrer. On entendit des explosions de partout. Dans les rues, les gens commencèrent à paniquer. Des crus, des personnes qui coi-uraient affolés. La jeune fille ne put s'empêcher de rire. Un rire glaçant et terrifiant sortit de sa bouche. Elle décida d'ajouter la touche finale pour finir en beauté.

-Morsmordre

De sa baguette, apparut le signe des mangemorts français: un poignard avec une rose entrelacée. satisfaite d'elle. Elle se remis confortablement sur son balais et pris la direction de paris. Pourquoi Paris ? Elle n'en savait pas elle même. Elle réussit à esquiver deux fusée qui se dirigea droit sur elle. Elles retombèrent dans l'eau de la tamise où elle explosèrent.

-Waddiwasi

Lança-t-elle en apercevant une jeune personne au cheveux blond vénitien, qui fonçais sur elle suivit d'un homme au cheveux brun. Le sort la toucha. Son prénom lui vint soudain: Elle s'appelait Illiana. Elle se souvenait l'avoir déjà rencontrée lors d'un bal. C'était il paraitrait qu'elle serait la reine de Poudlard et la demi-soeur de la directrice adjointe. Elle repris sa course. L'adrénaline dont elle avait été submergée se dissipait peu à peu. La peur commençait à monter en elle.

Je ne me battrais pas contre vous !

La guerre allait commencer et j’ignorais tout bonnement ce qu’il adviendrait de ma famille. Donna, Sophie, Anastasia et Capucine étaient toutes trois chez les anglais et je venais juste d’entendre dans le dortoir que Victoria avait une idée en tête. Je devais les prévenir le plus vite possible. Après avoir enfilé un jean et un débardeur, chaussé avec des bottes à talons noires, j’attachai mes cheveux en queue de cheval et descendis les marches en quatrième vitesse avant de sortir dans la cour. « Accio Balais ! », mon balais en main, je grimpai dessus et m’envola pour Londres, direction le Ministère. J’espérais simplement qu’il n’était pas trop tard vu que Victoria était déjà partie.

J’arrivai peu de temps plus tard et me posa prêt du portail pour se rendre au Ministère. J’arrivai finalement dans le grand Hall et couru jusqu’à la porte de la salle de Réunion avant de l’ouvrir en grand et de regarder le désastre qui venait d’être causé. «Victoria va venir ! », mais c’était trop tard, elle avait déjà frappée. Sans penser à rien, je me dirigeai vers mes cousines et ma tante, avant de les aider à se relever et de leur demander si tout allait bien. Bizarrement, je me sentais observer par les autres membres présents. Quoi ? Je n’ai pas ma place ici ? Je suis juste venue sauver ma famille. Donna se releva et se mis devant moi, baguette en main, histoire de me protéger, « Tout mais pas ça, ne la touchez pas ! » je ne pensais qu’à une chose, survivre et pouvoir à nouveau être heureuse mais apparemment, ce ne serait pas pour tout de suite vu ce qui allait se produire.

Nous vaincrons. Ensembles !

«Ravie de te voir parmi nous. », je lui fis un sourire et alla me poster prêt des filles histoire de savoir comment elles allaient. Puis, mon regard fut attiré par Tiphaine qui annonçait qu’on devait se mettre en duos pour vaincre sur le champ de bataille. J’acquiesça donc l’affirmation de Tiphaine et allait lui proposer de se mettre avec moi pour être certaine qu’on vive autant l’une que l’autre mais la demoiselle fut prise au dépourvu. Je me résignai donc à ne pas lui demander. Anastasia et Sophie ne se quittaient pas, j’étais certaine qu’elles allaient se mettre ensembles. Après tout, n’est pas sœur qui veut non ? Je me dirigeai vers Carolina, vu qu’elle était la dernière Gryffondor et lui souris « Carolina, as-tu déjà un camarade de combat ? »

Oui, je demandais à une élève si elle souhaitait se mettre avec moi. Quoi, c’était le meilleur moyen de protéger mes arrières non ? En protégeant celles de mes élèves. Sophie et Ana’ me rejoignirent et alors que faisais un léger sourire à mes filles, la terre se mit à trembler, les vitres explosèrent et les lumières finirent par s’éteindre. Des hurlements, pleins d’hurlements. Le lustre tomba au sol et je n’eu qu’une seule réaction, protégeait mes filles et Carolina par la même occasion. Une coupure au niveau de ma lèvre apparue et du sang se mit bientôt à couler mais je me remis de mes émotions bien vite, me tournant vers les filles « Est-ce-que tout va bien ? Vous n’êtes pas blessée ? »

Mais alors que je me préparais à me relever, la porte de la salle s’ouvrit en grand sur ma nièce. Joanna. « Victoria va venir ! ». Ma petite puce arrivait trop tard mais nous n’étions pas blessées enfin tout du moins, pas tous. Joanna accourue vers nous et nous demanda comment on allait. Les regards se tournèrent tous vers elle, les mangemort anglais et l’Ordre du Phénix étaient tous là mais elle n’avait rien à voir dans ce carnage. Sentant qu’il se passait quelque chose, je me levai et me posta devant ma nièce, baguette à la main. « Tout mais pas ça, ne la touchez pas ! », je levai les yeux vers Tiphaine et l’a pria d’un simple regard de ne pas faire de mal à Joanna mais apparemment, c’était peine perdue.