Sarah Crane

Nom: Crane Prénom: Sarah Surnom: ∞ Age: 11 Date de naissance : 15 Août Sexe: Femme Nationalité: Française Lieu de votre habitation: Le manoir familial est en France. La famille possède aussi deux résidences en Ecosse, et une villa dans le Sud de l'Italie. Sang: Pur Classe: Aisée L'école où tu veux aller: Beauxbatons Année d'étude: Première Plus tard je veux devenir: Travailler ? Moi ? Coffre: 73741 / Banque de France

JE SUIS CE QUE JE SUIS ...

[11 ans]
♕ Sarah est une jeune fille tout à fait banale. Elle n'est pas plus belle qu'une autre; plus grande ou plus forte. Elle est seulement normale.
Elle porte les cheveux longs toujours (ou presque) impeccablement coiffés, car elle est issue d'une famille noble et se doit donc d'y faire honneur.
Ses yeux bruns sont brillants d'une curiosité parfois trop imprudente. Ils sont d'une tinte chaude, toujours rieurs, si bien qu'elle parait tout de suite aimable.
Sa peau est pâle. Mais pas comme celle des ballerines, ces belles dames au teint de porcelaine. Non, la peau de Sarah est laiteuse. Ce n'est pas très joli, et ça risque malheureusement de ne jamais changer car le soleil, loins de lui donner ce joli teint olive que les autres ont généralement, la fait devenir aussi rouge qu'une écrevisse. Elle ne bronze pas.
Son cou est fin, comme ses bras ou même ses jambes, ce qui lui donne un air fragile. Elle n'est pas bien lourde, bien qu'elle mange énormément. Les avantages de l'enfance ...
Côté mode, Sarah est habillée avec soin par sa mère. Celle-ci a une vision de la femme bien à elle, et souhaite que sa fille s'y accorde. Ainsi la petite est vêtue de tenues luxueuses et raffinées, faites de tissus fluides et autres perles et strass. Même ses tenues de sport sont d'une féminité absolue.

♔ La sincérité est le premier trait de caractère de Sarah. Elle déteste les mensonges, et n'y a recours qu'en cas d'extrême urgence. Cela fait d'elle une personne très franche, parfois trop. Pour autant, elle sait tenir sa langue si on lui raconte un secret, et ne le trahira jamais, même sous la menace.
Ainsi s'ajoute à ce premier trait la loyauté. Elle donnerait sa vie pour une cause qui serait la sienne, et protègerait à tout prix ses amis, ou sa famille. Quand elle donne sa parole, elle ne la reprend pas, même à son propre désavantage. Ses promesses sont donc de grande valeur.
Sarah est naïve, mais pas stupide. Elle croit à toutes sortes de mondes merveilleux, aux choses que l'on ne voit pas et à la réincarnation de l'esprit. Elle est parfois menacée par cette trop grande candeur, et croit souvent aux mensonges de ses ennemis.
Pourtant, elle ne manque pas d'habileté. Cette petite sorcière est très rusée, et si son innocence lui joue parfois des tours, c'est sans mal qu'elle les déjoue, et avec une dextérité étonnante.

Aussi rusée soit-elle, la petite manque cependant de courage. Elle a peur d'énormément de choses en ce monde, en commençant par le noir, les insectes, les plantes carnivores, les échelles, et les rats. Dans ses mésaventures, elle préfèrera toujours se cacher derrière un camarade plus audacieux; elle serait le cerveau nécessitant des bras.
Si elle est gentille et ouverte, Sarah est aussi excessivement possessive et avare. Elle est née en haute société, a toujours connu l'argent, et ne supporte pas autre chose que l'opulence. Il y a tout de même une forme de générosité cachée dans sa pingrerie: si elle ne prêterait pas même une Noise, elle adore acheter des cadeaux a ses ami(e)s, et aux ami(e)s de ses ami(e)s. Ainsi, suggérer devant elle que telle ou telle chose puisse vous plaire revient à faire une demande expresse de cadeau sous peu !
Avec cela, elle est excessivement colérique. Elle s'emporte pour un rien, et encore plus facilement si une remarque parvient à ses oreilles à propos de l'un de ses amis, ou de sa famille.
Elle a beau être petite, ses colères sont effrayantes, et sa vengeance toujours terrible !
Elle est têtue, et tenace. Quand elle tient quelque chose, elle ne le lâche plus. Un peu comme un chien avec sa balle. Elle déteste qu'on lui dise non, et les refus qu'elle doit essuyer se soldent souvent par une honte intérieure profonde, et une mauvaise foi sans limite.

Ҩ Le chocolat Ҩ Les choux de Bruxelle Ҩ Rêvasser Ҩ Faire du sport Ҩ Une personne sincère Ҩ Une personne prétencieuse Ҩ Le soleil Ҩ La pluie Ҩ Le bleu Ҩ Le rose Ҩ Le velours Ҩ La soie Ҩ

VOICI MON HISTOIRE ...
La famille Crane était, depuis aussi loin que remontaient les registres et les arbres généalogiques, une famille de la noblesse Sorcière. Ils étaient l’une des grosses fortunes du monde Magique, si bien que le travail dans cette famille avait toujours été un amusement plus qu’une nécessité.
Durant les heures sombres, certains membres de la famille avaient été connus comme Mangemorts. Ainsi la famille s’était éloignée des cercles mondains, et d’aimés ils étaient devenus craints.
Après la chute de Voldemort, la famille Crane s’était assurée de rester dans l’ombre. Les membres gênant moururent étrangement. On ne les regretta pas. Pendant plusieurs générations – trois à ce jour – ils s’efforcèrent de rester discrets, attendant le jour où leur nom souillé serait lavé du souvenir de leurs aïeuls dans les mémoires.

C’était sans compter, bien sur, sur la renaissance des forces de l’Ombre quelques siècles plus tard. Les rangs Mangemorts se reformaient, et l’on se posa nécessairement la question : fallait-il y reprendre part ?


La mère de Sarah s’appellait Méliande. Elle était l’ainée de trois sœurs, et l’héritière de la totalité du patrimoine familial, ses sœurs étant morte pour l’une, et déshéritée pour l’autre – elle avait eu le mauvais esprit d’épouser un moldu.
Méliande avait pris pour époux un riche cousin écossais: Maximus. Ils formaient ensemble un couple mal assorti, et si le bonheur était tout proche, ni l’un ni l’autre ne s’était avéré avoir le bras assez long pour s’en saisir. Ainsi ils vivaient une calme existence, calquée sur des modèles de vie qu’ils avaient appris à faire leurs, car ils ne savaient faire autrement. Ils s’occupaient avec brio du domaine, qui prospérait, ainsi que de leur patrimoine financier.
C’est dans cette routine qu’un matin de Novembre, Méliande Crane apprit qu’elle était enceinte.
On fêta comme il se doit dans ces hautes familles la bonne nouvelle. On discuta du prénom, et aussi du sexe de l’enfant à venir. On parla de son avenir. Il lui fallait avoir une solide éducation. Mais les précédents Crane, ceux qui avaient éloigné la famille des Bons de ce monde, avaient étudié à Poudlard ; ainsi l’enfant ne pourrait y faire ses classes, de peur qu’un shéma, qu’un plan du destin ne le rejette à nouveau dans la boue.
Une fille irait à Beauxbâtons. Un garçon à Durmstrang.

Le 15 Août 2114 naquit une petite fille aux grands yeux bleus et à la peau rougeâtre.


Sarah n’était pas un vilain bébé, mais elle n’était pas vraiment gracieuse non plus. A vrai dire, elle était potelée, et chauve. Heureusement pour elle, les luxueux vêtements que lui mettaient ses parents la rendaient observable. Ainsi elle passa une première année comme le font tous les nourrissons, bercée entre le sommeil, les seins de sa mère, et les larmes de réclamations.

Elle parla pour la première fois à près de 2 ans et demi. Elle était un peu en retard, mais gambadait déjà comme une antilope.

En grandissant, il fut évident qu’elle aimait bien plus son père que sa mère. Si ses parents l’aimaient pour être leur enfant, ils le lui prêtaient pas l’attention la plus exacte dont ils auraient pu être capable. Monsieur s’occupait des affaires, et Madame préférait à son enfant des activités plus divertissantes.

Dès qu’elle fut assez grande, Maximus lui appris l’équitation. Elle fut inscrite en école de danse. Elle commença l’apprentissage des langues.
Ses parents étaient très stricts avec elle. Elle devait être studieuse.

En grandissant, elle ne devenait pas spécialement belle. Ses yeux, de bleus étaient devenus bruns sombres, et ses cheveux poussant étaient aussi ternes qu'un ciel d'hiver. Elle restait une enfant tout à fait correcte, une enfant à l’image de l’amour de ses parents.

Pour ses sept ans, l’âge de raison, on lui offrit une chouette hulotte. Elle l’appela Eris.

Elle s’intéressait aux choses du monde, elle s’intéressait au sort de ses semblables, et a celui des animaux. Elle aimait les belles choses, et par dessus tout, elle aimait son père.

Elle avait onze ans la première fois qu’une chose extraordinaire se passa dans sa vie.

Elle était attablée comme à son habitude à l’heure du petit déjeuner, quand les hiboux livrèrent les courriers. Eris déposa une lettre, une belle enveloppe dorée décorée d’un écusson à l’effigie de la célèbre école qui avait rouvert ses portes seulement quelques années plus tôt. Le cœur de la jeune fille s’était mis à battre si fort qu’elle avait failli pleurer sur-le-champ. Poudlard. Elle avait rêvé de ce jour depuis que son père lui avait raconté l’histoire de ce héro : Harry Potter. Aussi en la voyant, cette lettre tant espérée, elle la saisit avec toute la délicatesse dont elle était capable, comme si entre ses doigts reposait le plus grand trésor qui soit.
« Qu’est ce que c’est ? » la questionna son père.
Elle était si émerveillée. Parce qu’elle savait qu’un tout petit bout de papier pouvait signifier tellement plus. Il signifiait la liberté, enfin, la possibilité d’être qui elle voulait, et surtout, cela voulait dire qu’elle était grande, et que la magie allait bientôt être une réelle extension d’elle même. Elle allait avoir une baguette. Elle allait avoir des robes de Sorcière. Elle allait se faire des amis.
« C’est une lettre. Une lettre d’inscription ! »
Sa mère releva les veux de sa tasse de café. Son expression devint soudainement dédaigneuse.
« Poudlard… »
Elle arracha l’enveloppe des doigts de sa fille et la jeta aussitôt dans les flammes de la haute cheminée qui crépitaient près de la table. La jeune Sarah avait était étonnée d’abord, puis choquée par ce geste. Elle baissa les yeux, puisque son père ne disait rien. Ainsi, alors qu’elle avait enfin le droit de choisir, elle comprenait que le choix avait déjà été fait pour elle.
« Tu iras à Beauxbâtons. Les Elfes de maison ont certainement déjà fini tes bagages. »
L’école Française serait alors sa nouvelle prison, puisque sa mère en avait décidé ainsi.

Quand ce fut le moment de partir pour ce nouveau monde qui l’excitait tant, Sarah retrouva ses bagages, prêts depuis des mois, devant les grandes portes du manoir familial. Sa mère l’embrassa vaguement, son père la serra fortement. En montant dans le carrosse qui l’emmenait loin des murs familiers de son enfance, elle songea que son quotient serait désormais rayé de robes bleues et de rires féminins.

Pseudo: Abby

Age: 17 ans (presque 18 !)

Sexe: Femme

Où as-tu trouvé le forum ?: Depuis les partenariats avec Autres Vies.

Si tu devais ajouter quelque chose au forum ?: Rien, désolée !

Tu es un multi-comptes ?: Non.

Qui est sur l'avatar: Emma Stone.

Scénario ou Inventé?: Inventé.

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